SOMMAIRE
1 - Les secrets de beauté de Marie-Antoinette
2 - Le faux Louis XVII : imposteur, va !
3 - Le complot de la dernière chance
4 - Mirabeau : la belle et la bête
5 - Marie-Antoinette : sexe, scandales et amant(e)s
a - D’Artois, le beauf sexy de Marie-Antoinette
b - À la rencontre du beau Lauzun
c - Gabrielle de Polignac, la Jules d'Antoinette
Les secrets de beauté de Marie-Antoinette
Où ? : Le musée de la parfumerie de Grasse (06)
Alors, Marie-Antoinette ? Plutôt violette ou patchouli ? Découvrez ses parfums et crèmes préférés.
À découvrir aussi au musée de Grasse le nécessaire de toilette de la reine et son nécessaire de voyage en acajou...
Le faux Louis XVII : imposteur, va !
Où ? : Le château de Vaurenard à Gleizé (69) et l’église Sainte-Marguerite (75)
Pour découvrir l’histoire mystérieuse du fils de Marie-Antoinette et de Louis XVI, le petit Louis XVII... mort ou pas à la prison du Temple à Paris ?
Le complot de la dernière chance
Où ? : Le château de Sauvan à Mane (04)
Un complot pour éviter la guillotine à la reine ?... oui, un complot né dans ce château !
Mirabeau : la belle et la bête
Où ? : Le château de Saint-Cloud (92)
Une entrevue entre un monstre et une reine, dans les bosquets du parc de Saint-Cloud... pour faire changer la face de l’Histoire ?
Marie-Antoinette : sexe, scandales et amant(e)s
Loulou dénoue son aiguillette : la reine bien mal servie
Un roi (Louis XVI) pas franchement porté sur la chose et hop, il n’en faut pas plus pour que l’on dise que la reine a des amants à la pelle...
Avant d’évoquer les prétendus amants de la reine, parlons d’elle et de Louis XVI : ils ont 15 ans, elle, Maria-Antonia de Habsbourg, fille de l’empereur François de Lorraine et de Marie-Thérèse d’Autriche, lui, le fils du dauphin, duc de Berry !
Quand les Habsbourg rencontrent les Bourbons... Le mariage a lieu le 16 mai 1770 à Versailles.
Et alors, après ? Rien. Calme plat. Il faudra attendre 7 ans pour que le mariage soit consommé.
Louis n’est pas très porté sur la chose, mais, là, il y a aussi un autre problème... mécanique on va dire. On l’apprend de la bouche du frère d’Antoinette, Joseph II, inquiet de ne pas voir d’héritier arriver. Ils vont parler d’homme à homme.
Le beau-frère lui conseille de se faire « dénouer l’aiguillette », comme on dit. Car Louis semble avoir un phimosis, un resserrement du prépuce. Gloups ! Mais après la conversation, Louis accepte l’opération pour le libérer.
Et là, miracle ! Joseph écrit à l’archiduc :
« Dans son lit conjugal, il a des érections fort bien conditionnées, il introduit le membre, reste là sans remuer 2 minutes peut-être, se retire sans jamais décharger, toujours bandant, et souhaite le bonsoir. Cela ne se comprend pas, car avec cela il a parfois des pollutions nocturnes mais en place ni en faisant l’œuvre jamais, et il est content disant tout bonnement qu’il ne faisait cela que par devoir et qu’il n’y avait aucun goût. Ma sœur avec cela a peu de tempérament et ils sont deux francs maladroits ensemble. »
Sauf qu’il n’en faut pas plus pour que l’on murmure que le couple est bien mal assorti et que, frustrée, Antoinette a pris des amants... hommes et femmes !
Le libelle Semonce à la reine annonce la couleur :
« Versailles, Marly, Trianon, Saint-Cloud, Bagatelle et Brimborion retentissent encore des soupirs lascifs, qu’un amour incestueux et une rage effrénée vous faisaient pousser dans les bras de d’Artois et sur le sein de la Polignac. »
Un jour la reine dit à Diane de Polignac : « On dit que j’ai un tas d’amants. »
Diane répond : « Bah, on raconte bien pire ! Que le beau Fersen est le père du Dauphin et le comte d’Artois de M. de Normandie... »
D’Artois, le beau-frère de Marie-Antoinette
Où ? : au château de Bagatelle (75)
Mais il collectionne les maîtresses... dont la reine, dit la rumeur ! Roooh, sa propre belle-sœur...
Et bien sûr, selon eux, la reine est folle de son beau-frère :
Et quid du château de Bagatelle (75), issu d’un pari fou entre les deux jeunes gens ?
Encore un repaire de stupre et de luxure, tiens ! Montgaillard dit :
À la rencontre du beau Lauzun
Où ? : Dans son château de Biron (24)
Alors, quid de cet Armand-Louis de Lauzun ?
La reine le rencontre chez Mme de Guéménée, une aristocrate bretonne proche de la cour.
Bon, attendez : Lauzun est un sacré baratineur.
Y compris Lauzun, qui y voit comme un oui de la reine ! Oui pour aller plus loin...
Gabrielle de Polignac, la Jules d'Antoinette !
Où ? : on la rencontre au château de son mari Jules de Polignac, à Lavoûte-Polignac (43)