Etangs à perte de vue, landes sauvages : voilà la Brenne en Berry ! Pays des églises romanes, des jeteux d'sorts, des fées bâtisseuses de châteaux... Attention à ne pas vous faire écraser par une des sacrées grosses bottes de Gargantua !
SOMMAIRE
1 - La Brenne : petit pays, grands étangs
2 - Bestioles de la Brenne
3 - Paysages
4 - Connaissez-vous les lichouneries de la Brenne ?
5 - Légendes : au pays des meneux d'loups
6 - Faits divers : du sang sur les étangs !
7 - Itinéraires dans la Brenne
La Brenne : petit pays, grands étangs
Brenne, chapitre I : une grande forêt !
Le nom de « Brenne » vient de Brionis ou Brena, un nom qui signifie « forêt » en celte (brenn). C'est au 13e siècle que l'on trouve mentionné Saltus Brionis, le « bois de Brenne ». Car oui ! Même si le parc naturel n'a été créé qu'à la fin du 20e siècle, la Brenne, elle, est bien plus ancienne... très ancienne, une vénérable ancêtre !
Allez, c'est parti pour un petit voyage dans le temps...
La Brenne, au départ est une vaste et sombre forêt. Quand je dis au départ, c'est à l'époque gallo-romaine. Oui, les hommes se sont installés là depuis longtemps !
Même que Mézières-en-Brenne est déjà la « capitale » et que de grandes voies traversent la région : entre autre celle de Poitiers (Limonum) à Levroux (Gabatum), celle d'Argenton-sur-Creuse (Argentomagus) à Clermont-Ferrand (Augustonemetum)...
La forêt luxuriante entrecoupée de grandes prairies est évoquée par devinez qui ? Dagobert ! Oui, dans une charte lorsqu'il donne une terre à un parent, Cyran, pour qu'il puisse construire son monastère (futur Méobecq).
Il évoque une prairie bien grasse, des ruisseaux d'eau vive, du gibier à foison... Méobecq qui à la base s'appelait Millepecum... « nombreux troupeaux » !
Sauf que la sombre forêt en question se fait complètement ratiboiser au fil des siècles ! Elle va se transformer en terre cultivable. Et les paysans ne chôment pas ! Ils travaillent la terre sans relâche : seigneuries et abbayes sont contentes ! Les abbés perçoivent un petit pécule, la dîme novale, prélevée sur les parcelles déboisées.
Carpes et étangs, les deux mamelles de la Brenne
On a donc une terre cultivable. Mais pas encore d'étangs ! C'est au 12e siècle qu'ils commencent à poindre le bout de leur nez : aux 13e et 16e siècles, c'est l'explosion. Au début, on y cultive du fourrage, les troupeaux peuvent s'abreuver, et l'étang aide même au drainage des terres. Puis, au 14e siècle, on commence l'élevage de la carpe. Un poisson dont on raffole même à la Cour !
Et qu'on consomme les jours de jeûne, plutôt nombreux à l'époque. La légende dit que ce sont les moines de l'abbaye de Méobecq qui ont créé les étangs et qui en sont les propriétaires. Peut-être, mais il n'y a pas qu'eux : les seigneurs des châteaux de la Brenne s'y mettent aussi !
A l'époque, 3 grandes seigneuries règnent sur la Brenne : Mézières-en-Brenne, Lancosme et le Bouchet. Chacune d'elle possède ses propres étangs : le sire du Bouchet possède l'étang de la Mer Rouge, par exemple ! Ainsi, la Brenne se couvre d'étangs. Partout, à perte de vue ! Il est loin, le temps de la belle forêt de Dagobert...
Miasmes, alors !
Du coup, dès le 19e siècle, la Brenne est mal vue. C'est un plat pays désolé, inculte, isolé. Rien à en faire ! Et puis, les étangs, ça a toujours fait peur. Eurk ! Ils sont remplis de miasmes, à cause des eaux stagnantes, responsables de fièvres mortelles... Vous iriez y vivre, vous ?!
Ouaip, fait pas bon vivre dans cette partie du Centre de la France, à l'époque... Le 1er préfet de l'Indre, Jean-Baptiste Dalphonse, dresse un portrait pas bien folichon de la Brenne dans ses Statistiques du département de l'Indre (1804) : il raconte que l'habitant de la Brenne ne naît pas bien fort. Le plus souvent, il meurt avant 10 ans !
S'il atteint l'âge adulte, c'est une chance. Mais dans quel état...
« Il ne vit pas, il végète. Il reste empâté, cacochyme, boursouflé, sujet à des fièvres d'automne interminables, à des ulcères aux jambes d'une guérison très difficiles. »
Sans oublier le paludisme, la dysenterie... Qu'est-ce que vous voulez ! Le Brennou mange mal, boit l'eau à même l'étang, vit dans des conditions de misère pas possible... Mais la grande ennemie, ça reste l'humidité, l'eau stagnante des landes et des étangs qui règne en maître toute l'année. Maudite flotte !
Sangsues et choc des vagues
Mais faut bien essayer de survivre. Alors, on pêche dans les étangs, mais pas que du poisson. De la sangsue aussi ! Les plus pauvres des habitants partaient les récolter le soir. Ils offraient leurs jambes nues en guise d'appât et ces petits vampires aquatiques se précipitaient dessus. Pour quoi faire les sangsues ? Pour la médecine ! Les bébêtes boivent le mauvais sang des malades...Dalphonse remet une couche en décrivant les animaux « de faible complexion, rachitiques et peu vivaces ».
« La nature elle-même semble souffrir ; elle semble consternée. Tout est dans le silence. On parcourt des lieues entières sans découvrir une habitation, sans apercevoir autre chose que des bruyères et des eaux, sans entendre aucun autre bruit que le choc des vagues et les cris perçants des hirondelles de mer... »
Même les écrivains s'y mettent. Y compris George Sand, Berrichonne de cœur ! Elle écrit dans Le cercle hippique de Mézières-en-Brenne par un habitant de la vallée noire :
« En somme, ce département est sillonné par deux admirables vallées, celle de l'Indre, qui lui donne son nom, et celle de la Creuse, avec les ravins pittoresques de ses affluents torrentueux. Mais, entre ces deux régions profondes, fraîches et riches, s'étend un plateau uni, triste, malsain et pauvre : c'est la Brenne.
« Si vous regardez la Brenne figurée sur les vieilles cartes enluminées de Cassini, la physionomie d'une contrée si sauvage vous serrera le cœur ; pas de chemins, pas de villages, des espaces immenses sans un clocher, sans une ferme, sans un bosquet. Partout des étangs semés à l’infini dans la bruyère. Les nouvelles cartes départementales ne la montrent guère plus florissante.
« Cependant la Brenne n'est ni aussi laide, ni aussi morte qu'elle le parait dans ses portraits. Pour les yeux du peintre ou du romancier, cette rase terre, inondée en mille endroits, cette folle végétation d'herbes inutiles, qui s'engraissent dans le limon, ne manque pas de caractère, Il y a même une certaine poésie de désolation dans ces plaines de roseaux desséchés par la canicule.
« On se croirait loin, bien loin de la France, dans quelque désert où l'homme n'aurait point encore pénétré. Si l'on peut trouver un tertre, un donjon, le château du Bouchet, par exemple, et que la vue parvienne à planer, sur une grande étendue de terrain, cela est aussi beau, dans son genre, que nos tableaux chéris de l'Indre, de la Creuze ou de la Bouzanne. »
Et j'entends siffler le train... ah bon ?
Dalphonse, il sait de quoi il parle. Il l'a arpentée, la Brenne ! Il a vu la misère de ses habitants, la solitude de ses terres désolées. Il veut faire quelque chose.
Mais quoi ? Personne n'écoute ses idées : on a d'autres chats à fouetter ! Il faut attendre 1825 pour voir apparaître les premiers « chemins vicinaux ».
Grâce au marquis de Lancosme, on voit même apparaître les routes actuelles Châteauroux-Châtellerault et Buzançais-Saint-Gaultier. Une grande avancée !
Sous Napoléon III, dès 1850, on voit des choses enfin faites pour la Brenne : les marais aux eaux pleines de miasmes s'assèchent, de nouvelles cultures sont mises au point... tout ça pour améliorer la qualité de vie des Brennous. Et vous savez quoi ? Des lignes de chemin de fer ouvrent, des gares desservent même les petits patelins !
Un joli visage
Aujourd'hui, la Brenne s'étend sur 183 000 ha. Elle compte 51 communes et près de 34 000 habitants. Le Parc naturel régional, lui, a été créé en 1989. On appelle le coin « pays des Mille étangs » : on en recense en fait près de 4 000 (dont plus des ¾ sont privés)...
Les plus petits mesurent moins de 10 ha, les plus grands plus de 100 !Alors, rassurez-vous ! La Brenne n'est plus l'affreux désert, l'Enfer sur terre dont on parlait il n'y a pas si longtemps que ça...
Les bestioles de la Brenne
Les naturalistes commencent à s’intéresser aux bestioles de la Brenne au cours du 19e siècle. On a par exemple le plus connu d'entre eux, Jean Mercier-Génétoux, notaire à Argenton-sur-Creuse, qui collectionne les oiseaux naturalisés. Sa collection (plus de 1 000 pièces) viendra enrichir l'écomusée de Le Blanc à sa mort en 1866...
Pour avoir la chance d'apercevoir la belle faune brennouse, il faut souvent s'armer de patience. Chut, plus un bruit...
A l'aube, au coucher du soleil, la rencontre peut se faire quand on s'y attend le moins... La Brenne, c'est le paradis des bébêtes. A plumes, à poils, à carapaces, à 8 pattes...
On dénombre 267 espèces d'oiseaux, 60 espèces de libellules (sur les 91 recensées en France), autant de grenouilles, d'araignées... La plus connue, ici, c'est la cistude : une petite tortue carnivore, d'eau douce. La plus importante population de cette espèce dans toute l'Europe se trouve ici !
La cistude se plaît bien dans les étangs berrichons : elle y vit une centaine d'années ! Les grands mammifères ne sont pas en reste : cerfs, sangliers, chevreuils...
On a même introduit, à la fin du 20e siècle, des chevaux camarguais et de petites vaches de race Casta ! Les loups ont toujours été nombreux dans la Brenne. On les accuse de dévorer les troupeaux et de bien d'autres méfaits...
Le dernier loup de la Brenne a été tué au tout début du 20e siècle : une « prime de destruction » avait été versée par l’État à son chasseur... Ça me rappelle l'histoire du loup apprivoisé Cacao : vous la connaissez ?A tout moment, dans les prairies, on tombe aussi sur toutes sortes d'herbivores : ânes, moutons, vaches limousines... Véritables tondeuses à gazon sur pattes, ils permettent d’entretenir les terres.
Les paysages de la Brenne
Il n'y a pas que des étangs, dans la Brenne ! Sous-bois silencieux, grande prairie, forêt de résineux, lande. La lande (ou brande) vient du vieux français qui veut dire « s'embraser ». Car la brande prend vite feu ! Et c'est comme ça d'ailleurs qu'on s'en débarrassait autrefois.
Connaissez-vous les lichouneries de la Brenne ?
Une lichounerie, c'est une gourmandise en berrichon. Miaam ! Et alors, on mange quoi, dans la Brenne ?
- la carpe, qui se décline en rillettes, en filets fumés, en friture : incontournable, quoi !
- les échaudés (qui ont leur foire à la mi-mars), de petits biscuits médiévaux. Le plus vieux biscuit de France !
- côté fromage, ne pas oublier le chèvre le plus connu du coin : le Pouligny-Saint-Pierre.
Légendes : au pays des meneux d'loups
La Brenne, c'est le « pays privilégié des meneux de loups et jeteux de sorts », dit George Sand dans ses Légendes rustiques ! Ben, pour cause : désolée, loin de tout, c'est une région propice à toutes les histoires !
- Au château du Bouchet, on en raconte des choses : que Gargantua aurait façonné les paysages brennous, les fameux buttons ; que les fées auraient quelque chose à voir avec la construction du château...
- A Plaincourault, on découvre le miracle de saint Éloi, qu'on racontait déjà aux veillées au coin du feu...
- Et à Rosnay ? Connaissez-vous l'étonnante origine de l'étang de la Mer Rouge ? Ou celle du pèlerinage de sa Vierge miraculeuse, petite statue trouvée au creux d'un chêne millénaire ?...
Et puis c'est sans compter les sorciers, nombreux ici, qui profitent de la brume et du crépuscule pour sortir...
Un dicton du coin disait d'ailleurs : « Paulnay, Saulnay, Rosnay, Villiers, 4 paroisses de sorciers. » Bah nous v'là prév'nus ! Pis c'est pas fini : connaissez-vous les lavandières de la nuit ? Cette légende (Sand en a parlé dans ses Légendes rustiques) que les Brennous partagent avec les Bretons...
Attention, danger, écartez-vous des lavandières !
Pourquoi ? Mais, malheureux, c'est qu'on dit qu'elles viennent laver le linge tâché de sang de leurs enfants morts ! Manque plus que vous perdiez sur la route et hop, elles en profitent pour vous inviter à tordre le linge, les bougresses !
C'est la fin pour vous...Et que dire des grêleux, ces « sorciers » qui viennent « battre la grêle » sur les étangs ?
A la nuit tombée, armés de longues perches, ils frappent la surface de l'eau. Si fort que les éclaboussures montent jusqu'au ciel ! Et au petit matin, il flotte comme vache qui pisse...
Et que dire de la légende qui évoque le passage du roi Dagobert ? On a vu qu'il aimait bien venir chasser dans les luxuriantes forêts brennouses, le roi Dago. Et bien, on raconte qu'un jour, il noie ses chiens atteints de la gale dans la Claise, à Saint-Michel-en-Brenne...
Faits divers : du sang sur les étangs !
Petit pays, oui, mais qui a eu son lot de faits divers ! De quoi faire causer dans les chaumières... On trouve ces récits détaillés dans Les grandes affaires criminelles de l'Indre, de Christine Méry-Barnabé (éd De Borée, 2008).
Mis et Thiennot : l'affaire Seznec berrichonne
Commençons par le cas le plus connu : l'affaire Mis et Thiennot. On dit que c'est avec l'affaire Seznec la plus grande énigme judiciaire du 20e siècle.
Pourquoi ? Car ces deux hommes ont été condamnés pour un meurtre qu'ils n'ont pas commis.En ce jour de 31 décembre 1946, on retrouve le corps d'un garde-chasse dans un étang non loin de Saint-Michel-en-Brenne.
Un groupe de 14 jeunes chasseurs du coin sont arrêtés. Arrêtés sur les dires... de l'idiot du village. Parmi eux, Gabriel Thiennot (20 ans) et Raymond Mis (21 ans). Très vite, les coupables idéaux... Pourquoi ? Gabriel est un rouge, un communiste.
Raymond, un Polonais, un « étranger » pas bien accepté par les péquins du coin. Bah, on les a, les deux assassins tout désignés ! Après 8 jours d'un interrogatoire qui relève plus de la torture (méthodes de la Gestapo), les deux jeunes gens avouent, brisés, mutilés.
A Mézières-en-Brenne, on raconte qu'on entendait les deux hurler à la mort la nuit, au commissariat, pendant les interrogatoires... à tel point que les habitants devaient calfeutrer portes et fenêtres...La condamnation a lieu en juillet 1950 : 15 ans de travaux forcés, 10 ans d'interdiction de séjour.
Graciés par le président Coty en 1954 après 7 ans de prison, Mis et Thiennot demandent à 5 reprises la révision du procès. A 5 reprises, la justice leur dit non... La dernière en date remonte à mars 2014 : là encore, l'examen est repoussé en 2015...
Une révision, pourquoi ? Parce que beaucoup de points ne collent pas : le témoignage du seul témoin à charge, doté d'un âge mental d'un enfant de 7 ans ; le comportement bizarre de Lebaudy, le riche sucrier propriétaire du domaine où le garde-chasse a été assassiné : pourquoi donne-t-il de l'argent aux policiers pour que l'enquête soit bouclée au plus vite ?... etc.
Mis et Thiennot sont morts en 2003 et 2009. Mais le comité de soutien ne lâchera pas le morceau.
Alexandre Magnoux : chasse à l'homme
L'histoire se passe en septembre 1904. Le corps de Gustave Desroches, 40 ans, est retrouvé mort près d'un petit bois non loin de Méobecq. Une centaine de plombs de chasse dans le corps, est-ce possible ? On n'a jamais vu un corps aussi abîmé... Une boucherie ! On le connaissait bien, ce gars, dans la région. On l'aimait bien... Qui a pu faire une chose pareille ?
On pense aux braconniers, Gustave étant garde-chasse. Une vengeance ? Mhh, tout reste possible...Une dizaine de jours après la découverte du corps, un certain Alexandre Magnoux se fait arrêter. Journaliste, mais aussi... braconnier, un peu contrebandier sur les bords, aussi. Il n'a pas d'alibi, et, manque de bol, on l'a vu s'engueuler avec la victime peu avant sa mort.
Quand on l'interroge, il s'embrouille, ne sait plus ce qu'il a fait de toutes ses munitions... Il se fait arrêter et enfermer à Châteauroux. Il niera toujours en bloc, Magnoux. Mais il écopera de 15 ans de travaux forcés...
Auguste Lépron : le beauf assassin
Le 11 mars 1911, dans une maison de la petite place de l'église de Mézières-en-Brenne, un homme se repose chez lui. Quand soudain, un homme le surprend par derrière et lui plante plusieurs coups de couteau. La victime s'appelle Jean-Baptiste Faguet, 53 ans, un petit propriétaire aisé. L’assassin, c'est Auguste Lépron, son beau-frère...
Faguet, c'est un type estimé, dans le coin, quelqu'un de bien. Lépron, un vrai salaud. Et tout le monde dans le coin pense que ce qui est arrivé devait malheureusement arriver !... C'est la femme de Faguet et toute sa belle-famille, les Lépron, qu'on n'aime pas. Les ragots courent. Madame dilapide l'argent du ménage ! Et a installé sa mère et son frère Auguste chez eux, à Mézières. Misère...
Un mauvais gars, Lépron, qui vit en vagabond et a écopé de plusieurs petites peines pour vol et « rébellion ». Quand il s'installe chez Faguet, la coupe est pleine, l'atmosphère s'envenime. Avant le moment fatidique, Faguet avait bougonné qu'il ne nourrirait plus sa belle-famille, qu'il en avait marre. Et voilà. Le beauf commet l’irréparable...
Sa sœur fait appeler les gendarmes, qui auront toutes les peines du monde à le maîtriser. Mais il a encore l'arme du crime dans la poche... On le juge pour assassinat avec préméditation. Tout le monde en veut à la veuve Faguet : c'est elle qui a fait entrer le loup dans la paisible bergerie... Il en a fallu de peu pour que Faguet ne finisse pas lynché ! Résultat : travaux forcés à perpét' !
Itinéraires dans la Brenne
Les églises
Parmi toutes les églises de la Brenne, une seule n'est pas de style roman ! Je vous laisse deviner laquelle...
Un beau portail, des fresques dont un étonnant calendrier des mois agricoles !
Des trésors à découvrir dans cette église de grands seigneurs...
Une toute petite église à découvrir côté de son château !
Une beauté romane endormie près des eaux de la Creuse...
Un cavalier de l'Apocalypse vous y attend !
Une grande et belle abbaye... Connaissez-vous Notre-Dame-du-Bien-Mourir ?
Toute petite église romane, elle cache de belles fresques médiévales...
Une église en forme de saint décapité... si si, c'est possible !
Les châteaux
L'écomusée de la Brenne, bien campé au bord de la Creuse.
Une fière forteresse en bordure de Creuse... ouverte un jour seulement par an !
Saviez-vous qu'une favorite de Louis XIV y a vu le jour ?
Le plus beau des châteaux de la Brenne ! Meublé, en plus...
Les étangs
Rosnay : randonnée autour de l'étang du Blizon
Saint-Michel-en-Brenne : réserve naturelle de la Chérine
Les musées
S'informer, découvrir... la Brenne, sa faune, ses étangs n'auront plus de secrets pour vous !
La maison de la Nature, à Saint-Michel-en-Brenne
L'écomusée de la Brenne, à Le Blanc
Le musée de la pisciculture et d'histoire locale de Mézières-en-Brenne