Les lettres d'amour de La Bourdaisière

Après la vente du château comme bien national pendant la Révolution française, le nouveau propriétaire fait faire des travaux d'aménagement.

L'architecte appelé découvre, derrière un mur, une pièce cachée.

Un tout petit cabinet éclairé par une meurtrière, tout juste meublé d'une modeste table.

Sur cette table, des lettres. Pas n'importe lesquelles !

Il s'agit de la correspondance entre François Ier et Marie Babou !

On dit qu'elles sont tombées entre de mauvaises mains, car elles disparaissent à jamais...

Source

• Jean-Louis Chalmel. Histoire de Touraine jusqu'à l'année 1790 (tome 3). 1828.