Flaubert et la charrue de Kerjean

FlaubertFlaubert | ©Nico Paix / CC-BY

Saviez-vous que Gustave Flaubert visite Kerjean en 1847 ?

Cela lui inspire quelques phrases dans son Par les champs et par les grèves...

On sent la désolation et l’abandon.

Il parle de « socs de charrue, de fers de bêche rouillés » qui « gisent sur le parquet des chambres »...