![Flaubert](/_next/image?url=http%3A%2F%2Flocalhost%3A4000%2Fimages%2Fa%2F57%2F52%2Fe4%2F5752e4d3-8ec9-476b-b840-76e2a37583dd.jpg&w=3840&q=70)
Saviez-vous que Gustave Flaubert visite Kerjean en 1847 ?
Cela lui inspire quelques phrases dans son Par les champs et par les grèves...
On sent la désolation et l’abandon.
Il parle de « socs de charrue, de fers de bêche rouillés » qui « gisent sur le parquet des chambres »...